Mary A. Schneider
AVATAR : Scarlett Johansson. PSEUDO : Sauphies. PLAYLIST : The Kooks - Naive. MESSAGES : 59 ARRIVEE : 27/07/2010 AGE : 33 LOCALISATION : Los Angeles.
─ HIT ME ─◊ PROFESSION : : Lieutenant de police◊ LOVE YOUR ENNEMIES: ◊ KILL YOUR FRIENDS:
| Sujet: H. Cavill "don't blame him for your trouble" Mer 18 Aoû - 19:07 | |
| CHARLES S. HEMINGWAY. Nom : Hemingway. Prénoms : Charles « Charlie » Sebastian. Âge : 28 ans. Nationalité : Américaine. Date & Lieu de Naissance : 26 novembre 1982 à Oak Park, Illinois Job : Agent du FBI (crime organisé). État civil : Célibataire. Groupe : THE REAL MATERIALISTS. Choix de l'avatar : Henry Cavill (de préférence mais, ça reste négociable bien entendue) crédit(s) : Sauphies.
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FEAT. HENRY CAVILL |
IT'S MY CRAZY PAST
Pour l’histoire, j’ai préféré qu’elle soit totalement libre pour éventuellement plaire à plus de monde. Toutefois, il y aura quelques éléments obligatoires à insérer pour coller avec l’histoire de Mary Alice et de Thalia :
♣ Charles à fait des études de Droits à l'Université de New York (NYU) avant d'intégrer après trois ans d'études intensives La FBI National Academy basée à Quantico, en Virginie. Il fut formé pendant dix-sept semaines sans interruptions à des domaines tels que la filature, le tir et l'utilisation des sciences pour le recueil d'indices après cela, il rejoignit les bureaux du FBI police de Manhattan en temps que stagiaire deux années durant. Aujourd'hui, il est un véritable agent du FBI et à choisit de rejoindre le service du crime organisé. ♣ C'est à l'université qu'il rencontra Mary Alice. Ils fréquentaient la même classe et semblaient sur la même longueur d'onde. En réalité, il l'observait souvent de loin sans jamais oser lui parler par respect pour elle qu'il savait réservée, solitaire. Il tomba naturellement amoureux d'elle mais, il ne se passe jamais rien. Tout resta platonique et à distance jusqu'à ce que quatre ans passent et qu'ils se retrouvent par le plus grand des hasards; elle était devenue lieutenant de police. Ils travaillèrent sur la même affaire pendant quelques mois et sortirent ensemble dans la foulée. Cela durant une année entière. Ils s'aimaient beaucoup, dévouée l'un à l'autre vu comme un jeune couple touchant et sympathique. Ils projetaient d'ailleurs de vivre ensemble mais tout allait beaucoup trop vite pour Mary Alice qui cachait de lourds secrets qu'elle ne parvenait pas à dévoiler malgré la confiance qu'elle lui accordait et après une demande malhabile en mariage de la part de Charles, elle rompu et quitta New York suite à sa mutation; Charles en souffrit énormément. ♣ Suite à cela, Charles devint plus dévoué à son travail mais n'en oublia pas Mary Alice pour autant. Désireux de la reconquérir, il tenta à maintes reprises de la contacter mais ne l'eut plus jamais au téléphone alors, il baissa les bras jusqu'à ce qu'il rencontre une autre fille qu'il épousa sur un coup de tête croyant pouvoir oublier Mary Alice mais, ce ne fut pas le cas. Le mariage dura deux mois et demie avant qu'il ne quitte le domicile conjugale et exige une annulation de mariage. | | FRIEND OR ENEMY? MARY ALICE SCHNEIDER.
Mary Alice. S'il on lui avait dit un jour qu'elle le ferait souffrir, il ne l'aurait sans doutes jamais cru. C'est son amour de jeunesse - bien qu'il ne soit pas si vieux que ça. Le genre de fille qu'on oublie pas facilement; parfaite, dans tout les sens du terme... de corps et d'esprit, un agréable mirage. Secrète et passionnée, il savait qu'elle l'aimait autant que lui. Ils vécurent une année fabuleuse, une année qui l'assagit et le fit grandir l'obligeant à songer à un avenir plus concret avec cette femme qu'il avait longtemps aimé sans jamais oser l'avouer. Mais tout se finit, comme ça en une demande en mariage. Il se savait trop impulsif pourtant, ça ne l'empêcha pas de le faire et elle prit peur, le laissant à ses remords sans plus jamais la revoir, plus jamais entendre sa voix rauque qu'il adorait; il fit quelques erreurs après le départ de sa belle mais se fit une raison même si dans un coin de son cœur il gardait toujours une place pour Mary Alice. En fait, cette place elle ne l'avait jamais quittée. Le hasard les avait réunit une fois et il comptait bien sur lui pour l'aider dans ses démarches : ses prières furent entendue. En effet, après le meurtre d'un certain Alekseï, il fut immédiatement en charge de ce dossier qui trempait drôlement dans le crime organisé. Une aubaine, l'affaire se déroulait à Los Angeles. Le Lieutenant en charge de l'affaire ? Le Lieutenant Schneider.
- Spoiler:
« Je suis extenuée, Charlie. » « J'ai peut être quelque chose qui va te réveiller, Alice. »
Ses lèvres effleurèrent le ventre de la jeune femme. Il adorait son ventre... ses jambes, ses épaules... il l'aimait toute entière. Bien sûr, elle l'attirait de part son physique avantageux, il ne l'avait jamais nié mais il aimait tellement ses petites choses sans grandes importance pour les autres. Son rire, la façon dont elle enfilait ses chaussures, ses petites rides qui se dessinaient entre ses yeux quand elle était contrariée, le fait qu'elle porte ses chemises pour garder son odeur en permanence et son sourire... son sourire l'achevait littéralement. Alice se mit à rire et il remonta lentement jusqu'à atteindre sa bouche qu'il embrassa avec douceur. Il se répétait mais, il l'aimait. Alice exaltait et lui rendit son baiser, la mine réjouit, le cœur battant et posant une main sur le visage de son petit ami, elle haussa un sourcil.
« Quel genre de chose, c'est une surprise ? » « Ah, non ! Alice, c'est pas drôle ! Tu me connais trop bien. » « C'est surtout parce que tu te trahis. Ce sourire niais sur ton visage, un gamin le matin de Noël. »
Il scruta son visage un moment avant de faire glisser lentement sa main sur la gorge de la jeune femme, sublimée par une lingerie qu'il aimait particulièrement. Il doutait vraiment que la chemise trop grande pour elle qu'elle avait passé ne lui aille aussi bien à lui et l'embrassant dans le cou furtivement, il se redressa et ouvrit le tiroir de la table de chevet; il avait attendue ça longtemps. Il avait subtiliser une bague à sa belle, en avait fait faire une spécialement pour elle qui lui plairait, il en était certain. Il la connaissait tellement bien. Mary Alice le suivit du regard et se redressa en souriant, appuyant son coude sur le matelas moelleux, elle maintenu sa tête dessus et ouvrit légèrement la bouche quand elle comprit ce qu'il se passait. Non, non... elle n'y croyait pas et quand Charlie ouvrit l'écrin, elle ne put se contenir et se leva d'un bond du lit.
« Charlie, non. » « Alice je t'aime ! J'ai réflechis, on devrait se lancer... on est fait pour ça, je le sais ! » « Tu te rends compte de ce que ça signifie ? Je... tu vas trop vite, tout ça va trop vite. » « Je trouve au contraire avoir été plus que patient, Mary Alice. »
Il ne l'appelait jamais Mary Alice cela trahissait un certain ras-le-bol, sa déception. Qu'elle était bornée ! C'était ce qu'il voulait et elle aussi. Bien sûr, ils en avaient discuté à un moment donné mais, Alice était réticente. Elle cachait tellement de chose, elle souffrait tellement aussi. Charles savait que ça lui était difficile de concevoir un mariage sans la présence de sa mère assassinée, il y a dix ans mais son père lui pourrait l'emmener à l'autel ! Il était temps qu'elle grandisse, qu'elle fasse son deuil. Il en avait assez de tout ses secrets, des barrières qu'elle se mettait pour s'empêcher de souffrir : il ne connaissait pas toute l'histoire. Sa main posée sur l'une de ses joues, Mary Alice leva les yeux au ciel par dépit et entreprit de se rhabiller avec une rapidité mal agencée, lui faisait perdre son sang froid, elle prit une grande inspiration. Charles la regarda. Elle était terrifiée, ça semblait tellement évident. De quoi avait-elle peur ? Ne lui avait-il pas déjà prouvé qu'il était capable de la protéger ? De faire son bonheur ? Il avait les épaules assez larges pour endosser cette responsabilité, Mary Alice était sa vie, la savait-elle ? L'écrin dans les mains, il se leva soudain du lit et s'approcha d'elle, les sourcils froncés, observant ses gestes désordonnés avec appréhension.
« Qu'est-ce que tu fais ? » « Je pars. J'ai besoin d'air. » « Tu reviendras ? »
Alice leva la tête. Son regard répondait à sa question. Il avait dépassé les bornes de ce que Mary Alice pouvait concevoir mais il ne comprenait pas... non, c'était hors de sa portée. La fixant à son tour, il prit le visage de la jeune femme dans ses mains et posa son front contre le sien, déposant un furtif baiser sur sa bouche.
« C'est rien, on fera comme-ci rien ne c'était passé. Je ne t'en veux pas, je rapporterais la bague... ne pars pas. »
Ses mains s'attardèrent autours du visage d'Alice qui se mordillait la lèvre supérieure nerveusement. Bien sûr que c'était quelque chose. C'était ça le drame, à ce moment. Le fait que tout ne serait plus jamais comme avant si elle restait et qu'elle faisait semblant. Il le lui reprocherait une, deux fois avant que leur couple éclate et reculant son front de celui de Charles, elle le regarda, les larmes aux yeux.
« Je ne pourrais pas. Charles, non. Je ne pourrais pas vivre comme ça, en sachant que tu m'en veux d'avoir refusée d'être ta femme... parce que tu m'en voudras, je le sais ! Sois honnête, tu vas me détester et je ne pourrais pas le supporter. On ne s'en remettra pas, je... je suis désolée. » « Arrêtes de dire des conneries Mary Alice ! T'as la frousse de t'engager parce que tu crois qu'en vivant avec moi ça va te détourner de la mission que tu t'ai fixée ! Je te connais ! Je t'aime et j'ai appris à vivre ça... alors arrête de dire n'importe quoi, ça ne fait qu'ajouter une excuse de plus à ton palmarès. »
Alice se mit à pleurer, posa une main tremblante sur sa bouche. Le pire dans tout ce que Charles disait, c'était que c'était la vérité. Sursautant quand celui-ci jeta l'écrin violemment à travers la pièce, elle se détourna vite et alla prendre son sac et son manteau qu'elle avait déposé à la hâte plus loin quand ils étaient rentrés; cela ne servait à rien de s'attarder. Charles s'assit sur le lit, la tête dans les mains. Il aurait dû anticiper sa réaction, cela paraissait tellement évident, en fait. C'était un putain d'idéaliste. Il s'était dit qu'elle accepterait, au moins pour lui faire plaisir si elle l'aimait vraiment. Refoulant la vague de colère qui l'envahit, il ne leva même pas la tête quand il entendit la porte d'entrée claquer dans la précipitation et c'est une fois qu'il comprit que cela été réellement fini et qu'il avait laissé sa dernière chance de l'embrasser, de la toucher et de s'imprégner de son odeur, filer par orgueil qu'il envoya valser d'un coup de main bien placé la table de chevet à ses côtés.
THALIA DIANE HALL Juste un témoin dans l‘affaire qu‘il l‘amènera à Los Angeles. Elle a assistée au meurtre, à des origines russes et est assez facile à interrogée, abordable et intelligente. C‘est une vieille amie de Mary Alice (qui supervise également l‘affaire pour sa brigade et qui se garde avec une agilité non négligeable d‘ébruiter ce dernier fait) il n‘en sait rien pourtant et enquêteur hors paire, il découvrira rapidement son activité de prostituée : il couchera régulièrement avec elle sans vraiment éprouver de remords vis-à-vis de l’affaire juste parce qu’il a des besoins, frustré par sa proximité avec Mary Alice et qu’elle se trouve là, plutôt jolie et assez marrante, comprenant sa façon de vivre et son humour corrosif. Ils s’entendront vraiment bien et deviendront confidents à défaut de devenir de réels amis; prenant à cœur son histoire avec cette femme dont il parle souvent, Thalia se mettra en tête de l'aider à la reconquérir à un moment donné, s'attachant à son chagrin. Thalia est alors bien loin d’imaginer qu’il s’agit en réalité de Mary Alice. |
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